Magazine Conso
Après un EP qui affichait clairement les références aux influences de Detroit et de Chicago, le duo composé de Richard D'Alpert et Andrew Claristidge a sorti hier chez nos amis de Record Makers son premier album au titre éponyme : Acid Washed. De l'électronica space disco teintée de touches house façon meilleure période de la french touch. "Cosmic tunes for the party tonight", Giorgio Moroder est le fantôme de l'opéra. Si les titres pris de manières individuels arrivent à nous enthousiasmer, une certaine nonchalance se dégage lors de l'écoute de l'album dans sa totalité. On a l'impression de flotter dans l'espace accompagné de la bande son d'un film SF de la fin des 80's. Et si ce n'était justement pas là la réussite d'Acid Washed ?
>> Acid Washed : Change