Maintenant que j’ai de rideaux dans le salon, je peux aller regarder un bon film au ciné. J’avais entendu à la télé que A SINGLE MAN était pas mal, alors je me suis dépêchée d’y aller. L’affiche était belle. Et pour une fois que Colin Firth ne joue pas un rôle de jeune premier en quête d’amour dans un film à l’eau de rose, fallait le voir ! Et je n’ai pas été déçue. Car Tom Ford a enfin pu donner la chance à cet acteur formidable de composer un personnage intéressant. Fini avec Mark Darcy, le père inconnu dans Mama Mia ou bien le mari pragmatique dans Un mariage de rêve. Enfin le voila dans un rôle de composition intéressant qui challenge son talent. Et il joue admirablement cette histoire d’homme solitaire qui a perdu l’amour de sa vie et qui doit tout recommencer. Recommencer chaque jour avec le souvenir et l’absence de l’autre. Mettre son masque, celui d’un professeur parfait dans son rôle d’enseignant, et continuer cette vie fade malgré la douleur quotidienne. Si son personnage et son histoire semblent bien inspirés de Mort à Venise, celui de Julianne Moore n’est malheureusement pas très inspiré. Cette femme fade, vide de tout énergie, qui passe sa journée à rien faire, plantée au milieu des années 60, ne nous donne pas envie de l’aimer. D’ailleurs je me suis demandée pourquoi elle est sur l’affiche. Car cette histoire parle que d’homosexualité et de deuil. J’aurais préférée à la place ce jeune acteur beau comme un Dieu, Nicholas Hoult. Ce que j’ai plus aimé ? La mise en scène qui traite d’une manière très intéressante la solitude et en même temps l’absence de l’être aimé. Cette espèce de vide permanent qu’on ressente tout au long du film. Les flashback importants dans la narration restent sont utilisés d’une manière très simple ce qui fait qu’on s’en lasse pas. Un petit bémol : un peu trop explicatif à mon goût la baignade et sa sensation de se noyer. D’ailleurs un peu trop de nue d’homme à mon goût, même si voir les fesses de différents acteurs reste toujours un plaisir aux yeux de femmes. Sinon, un bon moment à passer avec Georges Falconer et son histoire…Pas la peine de vous dire que dans la salle il y avait une très grande majorité masculine ???en couple ?
Maintenant que j’ai de rideaux dans le salon, je peux aller regarder un bon film au ciné. J’avais entendu à la télé que A SINGLE MAN était pas mal, alors je me suis dépêchée d’y aller. L’affiche était belle. Et pour une fois que Colin Firth ne joue pas un rôle de jeune premier en quête d’amour dans un film à l’eau de rose, fallait le voir ! Et je n’ai pas été déçue. Car Tom Ford a enfin pu donner la chance à cet acteur formidable de composer un personnage intéressant. Fini avec Mark Darcy, le père inconnu dans Mama Mia ou bien le mari pragmatique dans Un mariage de rêve. Enfin le voila dans un rôle de composition intéressant qui challenge son talent. Et il joue admirablement cette histoire d’homme solitaire qui a perdu l’amour de sa vie et qui doit tout recommencer. Recommencer chaque jour avec le souvenir et l’absence de l’autre. Mettre son masque, celui d’un professeur parfait dans son rôle d’enseignant, et continuer cette vie fade malgré la douleur quotidienne. Si son personnage et son histoire semblent bien inspirés de Mort à Venise, celui de Julianne Moore n’est malheureusement pas très inspiré. Cette femme fade, vide de tout énergie, qui passe sa journée à rien faire, plantée au milieu des années 60, ne nous donne pas envie de l’aimer. D’ailleurs je me suis demandée pourquoi elle est sur l’affiche. Car cette histoire parle que d’homosexualité et de deuil. J’aurais préférée à la place ce jeune acteur beau comme un Dieu, Nicholas Hoult. Ce que j’ai plus aimé ? La mise en scène qui traite d’une manière très intéressante la solitude et en même temps l’absence de l’être aimé. Cette espèce de vide permanent qu’on ressente tout au long du film. Les flashback importants dans la narration restent sont utilisés d’une manière très simple ce qui fait qu’on s’en lasse pas. Un petit bémol : un peu trop explicatif à mon goût la baignade et sa sensation de se noyer. D’ailleurs un peu trop de nue d’homme à mon goût, même si voir les fesses de différents acteurs reste toujours un plaisir aux yeux de femmes. Sinon, un bon moment à passer avec Georges Falconer et son histoire…Pas la peine de vous dire que dans la salle il y avait une très grande majorité masculine ???en couple ?