L’horloge de ce jour n’accomplira que 23 tours au lieu des 24 mais le rapt de cette heure n’expliquera pas pourquoi je n’ai pas réussi à rédiger un papier sur une information qui m’a chatouillé
l’oreille, il y a peu : des enfants palestiniens dans les prisons israéliennes. J’ai cherché sur ce fameux moteur à deux o, des éléments pour me faire une certaine idée de la réalité mais
rien… Par rien, évidemment il faut comprendre rien qui ne soit un peu digne de confiance dans la qualité, la distance et la précision de l’information. Seuls les sites dédiés à la Palestine
comportent des éléments sur cet épineux sujet. Pas d’organismes internationaux, pas de grands quotidiens ou magazines, de chercheurs sachant cherchés, d’experts en politique de ce coin de la
planète, avisés.
Les questions que cela m’a posé : est-ce que j’ai correctement formulé ma requête ? (j’en ai écrit plusieurs) Y-a-t-il bien des enfants palestiniens dans les prisons israéliennes ? Est-ce parce que cette information serait trop délicate à traitée qu’elle ne l’est pas ?
En l’absence de réponse, j’ai opté pour une nouvelle question sur la recherche d’informations sur le web et sur le site http://www.cyberjournalisme.net/ , je trouve toute une série de livres pas électroniques pour un sou qui analyse, explique, décortique comment les journalistes se servent ou peuvent se servir du Net et tout à l’avenant. Comme les librairies sont fermées aujourd’hui, dimanche et que je n’aurai pas le temps de les lire parce que je dois rattraper cette heure envolée jusqu’à l’automne, je n’en saurais pas plus.
Je viens de réaliser un post de non-information qui m’aura pris autant de temps que les autres mais qui n’est pas sans intérêt.
Alors, c’est vrai… le Net ne peut pas m’éclairer… Y-a-t’il des enfants palestiniens dans les prisons israéliennes… ?
Et pour rester sur le sujet de l’enfance maltraitée, je n’arrive pas non plus à me faire une idée un peu informée sur le lien direct entre le pape et la pédophilie, je veux dire en acte et non pas en silence mais là c’est l’inverse c’est plutôt par une masse d’information dans lesquelles je ne trouve pas mon compte. Décidemment il doit vraiment manquer une heure à cette journée et dire que je perds encore de précieuses minutes à ajouter de la non information à celle qui existe déjà…