De l’avis commun, on peut mesurer le temps de présence passé au Salon du livre aux kilomètres de cernes qui se dessinent sous les yeux de tout un chacun. C’est ça, un peu à la manière du calcul de l’âge des arbres, en fonction des sillons…
Et après une seule journée, on a l’impression que certains y sont déjà depuis plus de trois mois. Voire plus. Et surtout qu’on les a empêché de sortir prendre une douche…
Mais qu’à cela ne tienne, nous tiendrons le coup - oui, je ne parlais pas que des éditeurs. Dans l’équipe aussi, les sillons se creusent… Autant les abreuver.
Retrouvons donc aujourd’hui notre grand dossier (immense, énorme !) : Les coulisses du Salon, jour 2 : vendredi, journée petit gris.