Amok. J’ai toujours bien aimé ce mot indonésien dont le sens souligne un moment de folie collective. Et paf, me voilà embringué dans micro amok numérique… sans trop savoir pourquoi. J’explique : il y a quelque temps, après une session frustrante, je parlais d’une reconversion sportive et j’évoquais, à mon grand dam désormais, une histoire de collants. Histoire faisant elle même référence à deux individus se tirant la bourre sur facebook (dont ma femme d’ailleurs). Bref, voilà qu’Alex, dans un commentaire, s’est mis en tête de me voir avec des collants, ce qui je l’assure fermement, n’est absolument pas mon genre. J’ai raisonné le bougre mais une sorte de fatwa à mon encontre s’est installée entraînant en cascade des demandes multiples. Etant par certains aspects assez joueur, j’ai bêtement relevé le défi. Il semblerai que le sort soit bel et bien contre moi dans cette affaire. Et par malheurs combinés, je suis un homme de parole. Donc, le shoot aura bien lieu, ne m’en déplaise. Toutefois, ça ne sera pas aussi simple !
Primo, si vous vous attendez à un résultat de ce type là, il faudra attendre un poil… Deuzio, il est hors de question que cette foutue photo soit publiée directement, comme ça, là. Il va falloir la trouver ! Donc stay tuned, comme ils disent les ricains… mais nom de Zeus, quelle histoire !
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