Assez souvent depuis 1 ou 2 an(s), on a pu entendre que Facebook a permis de résoudre pas mal d’affaires “policières”. Et pour cause, le réseau social est une vraie mine d’informations pour la police. Twitter aussi d’ailleurs !
Les exemples ne manquent pas et ils concernent tous types de cas : l’arrestation l’arrestation d’un cambrioleur ayant laissé trop de traces sur le réseau social, l’arrestation de mafieux en Italie qui n’ont pas été suffisamment prudents, l’arrestation de membres de gangs aux Etats-Unis n’ayant pas pris assez de précautions… A noter aussi, inversement, que ces sites peuvent également empêcher la police d’arriver à ses fins, comme en témoigne cet article.
Par contre, si Facebook est jugé très coopératif, selon une étude interne du ministère américain de la Justice sur l’exploitation des réseaux sociaux, Twitter l’est moins. En effet, contrairement à Facebook qui n’hésite pas à donner accès à ses données pour résoudre rapidement une affaire, Twitter attend d’avoir un mandat pour s’exécuter.
Doit-on s’en réjouir ?
(via)