Du côté de l’université Paris-Dauphine, on présente une toute autre vision de l’affaire. Si le séminaire en question a été suspendu, c’est simplement parce qu’il ne réunissait que six étudiants, un chiffre bien trop insuffisant.
Quant à l’envoi du mail informant M. Sulzer de cette suspension, sa concomitance avec le résultat des élections régionales n’est que pur hasard. Pourtant, ces explications sont loin de satisfaire le professeur de gestion en question qui sait l’existence de séminaires persistant avec des effectifs très faibles.