Cette caricature de François Delabruyère semble avoir été faite pour illustrer cette parodie interprétée par Michel Guidoni que j''ai écrit pour l'Emission La Revue de Presse de Paris Première.
Le SOCRATE DES PLATEAUX TÉLÉS qui s'est fait piégé pour la sortie de son ouvrage " De la guerre en philosophie" en faisant référence à un philosophe fictif, un certain Jean-Baptiste Botul , inventé de toutes pièces par le journaliste du Frédéric Pagès .
Il est sympa et attirant
Mais comme Philosophe, c'est un vrai gland
En sortant d'une séance d'UV
Il fait des livres préfabriqués
En faisant du, en faisant du,
En faisant du copié - collé
Mais là il s'est fait couillonné
Et dans le canard enchaîné
On le surnomme, on le surnomme,
On le surnomme Copié - Gaulé !
Il est sympa et attirant
Mais,... comme Philosophe, c'est un fainéant
Généreusement il précise
Qu'il veut bien donner sa chemise
Si ca rapporte, si ça rapporte,
Si ça rapporte deux fois la mise
C'est un produit publicitaire
Qui a l'épaisseur d'un courant d'air
Mais qui calcul, mais qui calcul,
Mais qui calcul comme un notaire
Il est sympa, et attirant
Mais,...comme philosophe, il vend du vent
Il a une femme qui présente bien
Mais quand il la prend par la main
On croit qu'il tient, on croit qu'il tient
On croit qu'il tient une planche à pain
Et sur sa BARBIE en silicone
Il teste ses pensées profondes
Mais c'est risqué, mais c'est risqué
Mais c'est risqué car elle est blonde.
Il est sympa, et attirant
Mais,...comme philosophe, c'est un gros flan
... ... ...
Comme Botul un jour on dira
Ce Philosophe n'existait pas
Sauf dans les pages, sauf dans les pages
Sauf dans les pages de GALA !
Il est sympa et attirant
Mais comme philosophe, c'est le néant !