Suite aux aveux du journaliste, le quotidien renonce au congédiement entrevu d’Eric Zemmour.
« Nous avons bien reçu votre lettre dans laquelle vous regrettez que vos propos dans l'émission de Thierry Ardisson sur Canal+ aient pu heurter. Nous prenons acte que vous n'avez jamais eu l'intention de stigmatiser certains de nos compatriotes. De fait de ces mises au point, nous n'avons donc plus de raison de vous convoquer pour un entretien. Notre réunion du lundi 29 mars est donc annulée » a répondu Le Figaro à la lettre d’Eric Zemmour rendue publique hier, et dans laquelle il s’excusait de la mauvaise interprétation de ses propos – et en outre, non pas de leur portée dogmatique. Après son passage sur le plateau de Thierry Ardisson, il commentait : « Je n'ai jamais dit, contrairement à ce qui a pu être colporté dans les médias que "tous les délinquants sont Arabes et noirs", mais que "la plupart des délinquants sont Arabes et noirs" ». Mesrine doit se fendre la poire de là où il est.
La Licra a décidé également de retirer sa plainte. Si Le Figaro n’envisage plus de licencier le chroniqueur, il tient néanmoins à rappeler que la liberté d’expression est essentielle mais ne doit en aucun cas occulter le respect des lois et des « principes de la République », et par ailleurs, qu’Eric Zemmour s'est « décidé à souscrire à cette double exigence ».
Une rédemption express en somme.
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Jeu de briques
Snake
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LES COMMENTAIRES (1)
posté le 07 avril à 03:25
Je soutiens Mr Eric Zémour dans son approche de la description du pays réel, si vous habitiez tous en zone sensible, en première ligne en quelque sorte, vous pourriez palper au quotidien cette évidance dès le lycée ce phénomène apparait trés lisble, les parents d'élèves ont un devoir de réserve et si on ne se cache pas dans le DENI DE lA REALITE les conseils de discipline concernent essentiellement ces deux communautés qui soufrent d'un déficit d'éducation à la base et qui va crecendo. J'ai même pu voir le cas du jeune "classé comme marginal " par un noyau dur composé de beurs qui faisait sa loi au lycée tous les adultes de l'équipe pédagogique avaient compris mais personne n'avait bougé, par lacheté habituelle et bien c'est ce jeune "vitime" en quelque sorte qui ayant fini pa