Ce matin, dans le calme de la maison désertée - à part moi - je ne résiste pas à vous faire partager mon rire du matin, déloyalement recopié sur un site d'explicitation de la langue française "expressio.fr" auquel je suis abonnée - et qui nous rappelle la définition de l'expression "faire avancer le Schmilblick" et son origine. Je suis certaine que, chez mes jeunes lectrices et lecteurs, tout cela n'est pas encore tout à fait fixé.
« Le Schmilblick des frères Fauderche est, il convient de le souligner, rigoureusement intégral, c'est-à-dire qu'il peut à la fois servir de Schmilblick d'intérieur, grâce à la taille réduite de ses gorgomoches, et de Schmilblick de campagne grâce à sa mostoblase et à ses deux glotosifres qui lui permettent ainsi d'urnapouiller les istioplocks même par les plus basses températures. »
Il se trouve que, depuis, il a été prouvé que, malgré les glotosifres, à une température proche du zéro absolu (-273,15° C), les istioplocks ne sont quand même plus urpanouillables, pas plus que les caryltores à zigouriles inversées, d'ailleurs. Ce qui est proprement décevant. Mais ne perdons pas espoir et faisons quand même confiance à la science pour résoudre ce problème.
Lorsque la question semblait plus ou moins saugrenue au présentateur, il demandait au participant pourquoi il l'avait posée. Et très souvent la personne répondait que c'était simplement pour faire avancer le schmilblick, autrement dit pour essayer d'apporter une petite information supplémentaire permettant d'avancer vers la reconnaissance effective de l'objet.
Hommage donc, à Pierre Dac, Guy Lux et Coluche, qui feront date dans l'histoire de la radio et de la télévision du XXème siècle (et de la culture française, n'ayons pas peur de le dire...°.