The fourth kind

Le quatrième type, celui dont on ne parle jamais !

coucou t as vu ma main ?

The Fourth Kind est un malheur, un drame, une catastrophe artistique… un peu comme le dernier album d’Alizée.

Le cas d’école du film à ne pas faire, du déchet qui ne sert à rien.

On commence par le scénario, une psychologue investigue sur des phénomènes qui lui semblent anormaux. Le fait que tout ses patients souffrent des mêmes maux (insomnies, maux de têtes, hallucinations et diarrhées aiguës) l’inquiète, d’autant plus qu’il y a aussi une histoire de chouette qui vient les maté à la fenêtre pendant qu’ils se déshabillent pour aller au lit. Bref, le grand n’importe quoi ou alors c’est la blague de l’année. Bref, elle enquête là dessus et puis un jour c’est le drame, elle devient à son tour sa propre patiente, bref le scénario a été macéré dans la poisse et l’incompétence.

Concernant la réalisation, on est à mi chemin entre le documentaire quasi-ment scientifique, la reconstitution avec la madame du cinquième élément et que si j’étais elle, je retournerais vite fait dans le lit de Besson, au moins pour jouer dans des films potables. Et le tout filmé dans un style de faux amateurs à la project blairwitch pour essayer de faire peur. Mais entre amateurisme et mauvais genre, le spectateur est servi. Les acteurs jouent vraiment mal. L’intrigue est nulle, il ne se passe jamais rien, il n’y aucun suspense, aucune tension. Au bout de quelques minutes c’est le dégout qui prends le pas sur la colère.

Malgré un synopsis qui était prometteur et une bande annonce qui laissait présager une petite pépite de chocolat enrobé de steak saigant, ce film est une bouse de plus qui finira dans la corbeille. Au moins, ce film n’est pas produit par de l’argent français ;)

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Bouh !