On voyait les hackers comme des individus cinglés ou criminels. Quelques évènements récents attirent l’attention sur le fait que ce sont de plus en plus souvent des organisations qui agissent dans un but politique défini.
Un nouveau mot est apparu parmi les spécialistes : « hacktiviste » désigne les activistes qui, employant les méthodes et les compétences des hackers, pénètrent les réseaux des autorités, les perturbant, les paralysent.
Le Global Internet Freedom Consortium (GIFC) créé aux Etats-Unis par des membres du Falum Gong chinois est réputé produire les plus puissants programmes permettant de casser les murailles de la censure. Ces cyberactivistes ont d’abord travaillé sur la Chine mais ils interviennent maintenant en Iran.
Des réseaux de plus en plus nombreux pratiquent l’intervention cybernétique pour protéger la libre circulation de l’information de l’intervention des Etats. Et d’autres Etats, partisans de la libre information, peuvent les appuyer. Par exemple, Freedom House et Sesawe Consortium qui pratiquent l’intrusion cybernétique seraient financés par le State Department.
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