Sur le papier, on sait régler le problème de l’alcoolo-dépendance. Le précise Dr Kiritzé-Topor, médecin alcoologue rappelait hier dans Le Figaro qu’avec 2 litres de boisson par jour (sans alcool, sans sucre et sans caféine) ; des benzodiazépines pendant 48 heures à fortes doses, puis diminuées progressivement, sans dépasser dix jours ; de la vitamine B1 et de l'acide folique. L’affaire était réglée en dix jours maximum… Les 5 millions de Français concernés, dont 2 millions de dépendants, pourraient donc, en théorie, dormir sur leur deux oreilles. Car, évidemment le problème est ailleurs. Il y a le fort taux de rechute 30% des sevrés après un an. Un autre tiers passe par des phases de boisson et d’abstinance t enfin le dernier tiers cesse de boire de l’alcool…Une nouvelle piste est actuellement en cours d’xploraation en France et aux Etats-Unis. Il s’agit d’une molécule, le balcofène censé réduire l’apétence pour l’alcool. Les médecins précisent qu’il ne peut s’agir que d’une aide et surtout pas d’une solution miracle, car le sevrage alcoolique passe nécéssairement par des solution personnalisées avec une prise en charge psychologique de l’individu concerné.
Sur le papier, on sait régler le problème de l’alcoolo-dépendance. Le précise Dr Kiritzé-Topor, médecin alcoologue rappelait hier dans Le Figaro qu’avec 2 litres de boisson par jour (sans alcool, sans sucre et sans caféine) ; des benzodiazépines pendant 48 heures à fortes doses, puis diminuées progressivement, sans dépasser dix jours ; de la vitamine B1 et de l'acide folique. L’affaire était réglée en dix jours maximum… Les 5 millions de Français concernés, dont 2 millions de dépendants, pourraient donc, en théorie, dormir sur leur deux oreilles. Car, évidemment le problème est ailleurs. Il y a le fort taux de rechute 30% des sevrés après un an. Un autre tiers passe par des phases de boisson et d’abstinance t enfin le dernier tiers cesse de boire de l’alcool…Une nouvelle piste est actuellement en cours d’xploraation en France et aux Etats-Unis. Il s’agit d’une molécule, le balcofène censé réduire l’apétence pour l’alcool. Les médecins précisent qu’il ne peut s’agir que d’une aide et surtout pas d’une solution miracle, car le sevrage alcoolique passe nécéssairement par des solution personnalisées avec une prise en charge psychologique de l’individu concerné.