Les services de covoiturage sont de plus en plus nombreux sur le web, avec pour chacun sa spécificité (voir ce premier comparatif entre Soluco et Covivo). Dans un marché qui commence à être bien occupé mais sur lequel il faut convaincre rapidement et massivement les nouveaux utilisateurs (les places vides dans votre voiture valent 500 milliards d’euros !), il faut une feuille de route bien établie. Quotidien Durable a repéré plusieurs facteurs clés pour réussir dans le secteur :
« Une communication efficace de lancement pour :
- Informer massivement
- Atteindre rapidement une masse critique d’utilisateurs, capitale pour l’efficacité du service.
Un service de qualité intuitif, performant,personnalisé et humain
- Intuitif pour concrétiser rapidement les résolutions prises grâce à la sensibilisation et éviter la frustration et l’abandon.
- Performant pour faire de la recherche d’un covoitureur un succès, satisfaire la demande mais aussi stimuler l’adhésion des personnes pas encore convaincus.
- Personnalisé pour favoriser l’appropriation de l’outil
Un suivi régulier tout au long de l’année pour :
- Informer, communiquer, stimuler, convaincre. Car si tout le monde connait le covoiturage, il faut réussir à faire passer à l’acte.
- Soutenir, assister, guider. C’est le rôle du standard téléphonique qui répond aux questions des utilisateurs et qui leur donne les coordonnées de covoitureurs potentiels.
- Améliorer, adapter, innover. C’est le rôle de l’équipe de développement. »
A quoi il faut, je crois, ajouter ou préciser le rôle des « réseaux » qui peuvent soutenir les entreprises de covoiturage. On trouve souvent des entreprises qui ont incubé dans des pépinières, ou qui se sont adossées à des associations locales ou à des collectivités territoriales. Le maillage d’une entreprise de covoiturage, son écosystème, est très important pour pouvoir toucher des publics différents.