Dans un conflit, il y a deux philosophies : je tatanne mon prochain car il est méchant, ou je tatanne mon prochain car c'est vachement marrant en fait de tatanner à coup de grosses cartouches entre les deux yeux ou à grand renfort d'explosifs en tous genres. Le résultat est le même (ça fait mal par où ça passe) mais la méthode différente. Partant de ce constat, et accessoirement parce que le FPS, ça marche, DICE avait concocté il y a presque deux ans le premier Bad Company, plein de libertés, de véhicules, de destructions massives et d'humour. Alors, quid de son successeur bien plus mis en avant par Electronic Arts ? Moins drôle, moins ouvert, plus explosif, plus scripté, moins de plus ou plus de moins ? Si vous attendiez avec impatience les réponses à ces lourds questionnements... vous ne les trouverez pas ici. En revanche, vous tomberez - tel le fantassin étourdi sur une mine antipersonnelle - sur la critique de Battlefield Bad Company 2. Et à la guerre comme à la guerre.
[TEST] Battlefield Bad Company 2