j'ai attendu longtemps mais le temps est trop court,
être à l'affùt du vent et de ces beaux discours,
et la peine dans l'âme renaite de mes cendres,
et pleurer dans la nuit et ne plus rien prétendre...
l'aventure obsolète fourmille dans mes nuits,
d'un passé peu glorieux lorsue l'on dit "ci-gît"
je pleure les oiseaux et les bains de sleil
la vie ui nous enflamme/ rien n'est jamais pareil§
Moi je ferme les yeux et là je m'emerveille,
de la tristesse nue ui a brisé nos coeurs,
cette odeur d'encens u'parfume nos corps,
les draps entre mêlés et chantant à tue tête
un vent de liberté et de futilefête,
pour ne jamais finir juste au son de trompete,
le réveil pourtant de ma dure existence,
j'ai appris le revoir du prisme universel,
et les mots sont pour moi des nuées d'hirondelles!