Citoyens !
Une analyse d’Euro RSCG fait la part belle à la web-paranoia des marques :
« Conducted by Euro RSCG Biss Lancaster, the study of 1,200 UK adults revealed that 23 per cent were willing to lash out at companies and brands online, because of the medium’s relative anonymity.
It is a finding that starkly demonstrates the potential for crises that brands now face online. »
Or si on prend la démonstration à l’envers, on peut en contre-arguments dire :
- qu’une très forte majorité des internautes ne sont pas prêts à « balancer » sur les marques ou leurs employeurs (75%)
- qu’une très forte majorité n’est pas prête à à publier du contenu pertinent à vocation à être utilisé contre les marques ou les autres individus (86%)
Ce qui serait donc plus intéressant, c’est de comprendre le passage à l’acte de l’internaute en activiste digital. Comme dans la rue, dans des ruelles obscures sans caméras de surveillance, nous évitons généralement de détruire les vitrines des magasins ou de tagger les murs gratuitement. Finalement, le monde digital est loin d’être plus terrifiant pour les marques que le monde dit « réel ».