- Il serait dirigé par l’ex KGB, qui exerce la « fonction de répression de l’État », hors de tout contrôle, et dont le fonctionnement « repose sur ses liens traditionnels avec le crime organisé ».
- « La fonction principale des agences de respect de la loi en Russie n’est pas de protéger le public du crime et de la corruption, mais de protéger la bureaucratie (dont elles-mêmes) du public ».
- « Pour s’assurer la loyauté, le système permet aux services de police et de sécurité de gagner de l’argent avec leur permis de violence ».
- Résultat : « les services policiers, judiciaires et pénitenciers sont des composants d’un industrie dont le métier et la violence légitime et qui utilise les gens comme matière première ».
Après Goldman Sachs, le KGB ? Nouvel exemple de parasitisme, d’un organe social qui se retourne contre la société ?