Le foot c’est simple comme marquer un penalty à la 91ème minute quand on a coûté 46 millions d’euros plus Eto’o.
Simple, comme perdre contre un huitième de finaliste UEFA quand on est quart de finaliste de Ligue des Champions. Simple, comme un ancien favori pour le titre de Ligue 1 qui tirerait 4 fois au but contre 20 fois pour son adversaire en crise avant d’affronter Manchester. Simple comme marquer 20 buts en Liga sur les 74 de son équipe quand on n’a pas été capable d’en mettre un au Milan AC, à Marseille ou même à Lyon.
Sébastien Cabale
Le rugby c’est simple comme une dream team du nord qui ecraserait 12-10 le quinze de la rose fanée. Simple, comme un commentateur qui parlerait de 89 et de plaquage cathédrale pour mieux faire découvrir son sport. Simple, comme demander à Chabal ce que représente pour lui un Grand Chelem, mais il n’avait pas accès à ses comptes. Et puis gagner dans un stade baptisé SDF, ça lui a foutu le moral en l’air.
Ivan pas terrible
Le tennis c’est simple comme remporter son premier Masters 1000 à 31 ans à peine. Le sport c’est simple comme des Français qui brillent en biathlon mais dont ni le Vestiaire ni personne ne parle car les JO sont dans 4 ans. Simple, comme un Brian Joubert revanchard aux Mondiaux, et comme un Manny Pacquaio qui aurait pu arrêter la boxe mais la boxe avait déjà arrêté.
Par contre le vélo c’est pas si simple, les médecins de Valverde l’avaient bien compris mais la lutte antidopage l’est encore moins.