Ces indicateurs sont les suivants :Qualité de l’air :
- Nombre de jours avec une mauvaise qualité de l’air
- Nombre de déplacements en transports en commun
- Nombre de véhicules immatriculés
- Débit journalier moyen de la circulation sur les ponts et les autoroutes de Montréal
- Nombre d’usagers du vélo à des fins utilitaires
- Nombre de plaintes des citoyens concernant la qualité de vie
- Qualité bactériologique de l’eau en rive dans la région de Montréal
- Nombre de jours avec un taux de pollen d’herbe à poux élevé
- Superficie des aires protégées en milieu terrestres sur l’île de Montréal
- Superficie des parcs montréalais
- Nombre de kilomètres de rives publiques et de points d’accès à l’eau
- Nombre d’avis d’ébullition de l’eau potable
- Consommation d’énergie et équivalents en GES pour l’île de Montréal
- Quantité d’eau potable produite annuellement
- Indice de qualité de l’eau du fleuve en aval de l’île de Montréal
- Quantité de matières résiduelles générées, récupérées et éliminées
- Nombre d’associations œuvrant en environnement
- Nombre d’organisations qui participent au Premier plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise et nombre d’actions en cours de réalisation
- Nombre d’arrondissements dotés de programmes de sensibilisation à l’environnement
- Nombre d’industries, de commerces et d’institutions qui possèdent une certification environnementale ou un programme environnemental volontaire
Tous ces indicateurs du Premier plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise sont d’excellents outils pour pouvoir faire un état de la situation et ensuite chercher à améliorer constamment la situation. À savoir si la ville fait un bon travail en ce sens est un autre débat, mais je crois que de pouvoir mesurer et quantifier des données précises est un grand pas dans la bonne direction.Êtes-vous en mesure de pouvoir quantifier et mesurer des indicateurs dans vos propres entreprises?