La seule partie de ce volume que j’ai véritablement apprécié est Le meurtrier de Hung parce que l’histoire était réaliste et m’a touchée. Pour le reste, qu’il s’agisse des thèmes, des vignettes, des photos ou des textes, je n’ai tout simplement pas accroché. L’obsession de collégiens des auteurs pour l’Amérique et les scénarios surréalistes m’ont agacée et ennuyée.
Je n’ai pas non plus aimé le New York dessiné par Tardi, il n’a pas le charme de Paris et de tous les albums qui ont fait sa réputation comme les Adèle Blanc-Sec ou les adaptation des romans de Léo Malet.
Tout cela a tout simplement très mal vieilli.
La note de L’Ogresse: