(dépêches)
Supputations sur le prochain remaniement ministériel
http://fr.news.yahoo.com/4/20100322/tts-france-sarkozy-fillon-ca02f96.html
François Fillon à l'Elysée pour préparer un remaniement
il y a 30 min
Buzzer ! Imprimer Le président Nicolas Sarkozy a reçu lundi matin son Premier ministre François Fillon pendant plus d'une
heure pour tirer les leçons des élections régionales et préparer un remaniement dont l'ampleur est incertaine. Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées FRANÇOIS FILLON REÇU À L'ÉLYSÉE POUR PRÉPARER UN REMANIEMENT Agrandir la photo Plus de photos Gouvernement
Articles liés
Fillon de retour à Matignon après son entretien avec Sarkozy
Cohn-Bendit juge le fonctionnement d'Europe Ecologie "pas à la hauteur" et propose une "coopérative politique"
Les résultats, région par région
Plus d'articles sur : Régionales 2010
Discussion: Régionales 2010
Selon des sources gouvernementales, le ministre du Travail Xavier Darcos, battu lourdement en Aquitaine, paraît l'un des ministres les plus menacés, alors qu'il est censé conduire la réforme des
retraites dans les prochaines semaines.
François Fillon est arrivé à 9h00 au Palais de l'Elysée. Selon son entourage, il n'était pas prévu qu'il présente sa démission, même pour la forme.
Une heure plus tard, alors qu'il était toujours là, c'est le député UMP François Baroin, un proche de l'ancien président Jacques Chirac, qui est arrivé au palais présidentiel. A 10h25, François
Fillon était de retour à Matignon.
Le nom de l'actuel ministre du Budget, Eric Woerth, est cité pour remplacer, le cas échéant, Xavier Darcos afin de mener la mission à haut risque que constitue la réforme des retraites, à moins
qu'un poste soit créé spécifiquement pour ce dossier.
Dans l'éventualité où Eric Woerth serait promu, François Baroin pourrait le remplacer au budget, dit-on de source gouvernementale.
Si cela se confirmait, le remaniement serait plus que l'ajustement "modeste" et "technique" annoncé ce week-end par le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant. D'autant plus que d'autres
têtes pourraient tomber, comme celles de Fadela Amara (politique de la ville) ou d'Hubert Falco (anciens combattants).
Le second tour des élections régionales s'est soldé dimanche par une défaite de la droite, qui ne préside plus qu'une région métropolitaine, l'Alsace, à laquelle s'ajoutent, outre-mer, la Guyane,
grâce à un transfuge de la gauche, et La Réunion.
Emmanuel Jarry et Yann Le Guernigou, avec Sophie Louet, édité par Yves Clarisse
http://www.lepost.fr/article/2010/03/22/1998899_remaniement-un-proche-de-villepin-entre-amara-letard-et-darcos-sortent-besson-deplace.html
Remaniement: un villepiniste entre, Amara et Darcos sortent, Besson déplacé?
remaniement ministériel, Nicolas Sarkozy, François Fillon, Eric Besson, Georges Tron, Fadela Amara
Par La rédaction du Post le 22/03/2010 à 10:56, vu 6135 fois, 26
Nicolas Sarkozy et François Fillon ont fait "le point" sur le "remaniement technique"ce matin à l'Elysée. Voici ce qui se prépare...
Francois Fillon et Nicolas Sarkozy, à Bruxelles, le 11 décembre 2008.
MAXPPP
Que va faire Nicolas Sarkozy? Va-t-il changer quelque chose à l'issue de ce second tour des régionales, qui a vu la gauche confirmer son bon résultat du premier tour puisqu'elle détient désormais
21 régions sur 22 en métropole. De son côté, la droite a sauvé la face, puisque si elle perd la Corse, elle garde l'Alsace et prend La Réunion et la Guyane.
En tout cas, la majorité a changé de ton dimanche soir par rapport au soir du premier tour, reconnaissant cette fois-ci la défaite.
1. Renforcement de la droite au gouvernement?
"Nicolas Sarkozy est décidé à entendre le message des Français", selon le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant. Le même assurait samedi à La Croix qu'il y aura un remaniement... mais à
minima. "Ce sera un remaniement modeste, technique". Ce "remaniement technique", qui devrait d'ailleurs intervenir dès ce lundi, marquera le renforcement de la droite au gouvernement, avec une
ouverture au centre, selon Le Figaro.
Nicolas Sarkozy a reçu François Fillon ce lundi à 9h pour "faire le point" sur le "remaniement technique". La discussion entre les deux hommes a duré environ une heure vingt. Le Premier ministre
est revenu à Matignon lundi en milieu de matinée.
Dimanche, Nicolas Sarkozy avait déjà reçu François Fillon en tête à tête en fin d'après-midi, puis Xavier Bertrand et Brice Hortefeux. Avant de passer la soirée avec ses collaborateurs, indique
Le Figaro.
2. Ce qui se prépare...
Georges Tron pressenti
Selon Le Monde, les négociations pour le remaniement ont déjà commencé. Le quotidien affirme que dimanche en fin de soirée, François Fillon souhaitait faire entrer le député villepiniste Georges
Tron au gouvernement. Une manière d'affaiblir le clan de Dominique de Villepin -qui devrait annoncer, jeudi, la création "d'un mouvement au service des Français"- après avoir déjà recruté son
ex-directeur de cabinet Bruno Le Maire au gouvernement.
Fadela Amara, Valérie Létard et Xavier Darcos out?
François Fillon souhaiterait faire sortir du gouvernement Fadela Amara, la secrétaire d'Etat chargée de la politique de la ville, ainsi que Valérie Létard, la secrétaire d'Etat chargée des
économies vertes, auprès de Jean-Louis Borloo, toujours selon Le Monde. Après sa lourde défaite en Aquitaine, le ministre des affaires sociales, Xavier Darcos, est aussi "sur la sellette",
d'après le quotidien. Il pourrait être remplacé par Eric Woerth, actuellement ministre du Budget.
Eric Besson déplacé?
Le ministre de l'identité nationale, à qui on a reproché d'avoir fait le jeu du FN aux régionales, a reconnu sa part de responsabilité dans la défaite de la majorité hier. "L'idée de le déplacer
à un ministère moins exposé est envisagée", selon Le Monde.
Fillon reste en place
De son côté, même s'il a déclaré dimanche soir qu'il allait évoquer lundi avec le chef de l'Etat sa "part de responsabilité" dans la défaite, François Fillon ne devrait pas présenter sa
démission, selon l'Elysée.
3. "Sarkozy veut laisser ce gouvernement réformer les retraites"
Comme Nicolas Sarkozy ne souhaiterait pas lever le pied sur les réformes, le chef de l'Etat pourrait être tenté de garder son gouvernement pour mener à bien la réforme des retraites, avant de le
changer pour préparer l'élection de 2012.
"Sarkozy veut toujours laisser ce gouvernement réformer les retraites, quitte à se carboniser, et, ensuite, faire un grand remaniement, avec du sang neuf, pour aborder 2011", a confié l'un de ses
fidèles au Figaro.
Pourtant, selon un sondage CSA publié dans la nuit de dimanche à lundi, un tiers des Français voudrait que le chef de l'Etat "ralentisse le rythme des réformes" et une majorité (54%) qu'il adopte
"un style plus présidentiel".
Une faute d'orthographe, de grammaire, une erreur à signaler? Ecrivez à politique@lepost.fr avec votre correction et en indiquant l'url du post.
(Sources: Le Monde.fr, Le Figaro.fr, L'Express.fr, Liberation.fr)
A lire sur LePost.fr:
- Rouste aux régionales: exit Xavier Darcos?
- Sarkozy va-t-il (vraiment) changer quelque chose?
- Remaniement: et si Sarkozy nous collait une bonne droite?
- Remaniement: s'il a lieu, à quoi va-t-il servir?
- NKM à la Santé, Lagarde au Quai d'Orsay? Ça jase sur le remaniement
Par La rédaction du Post
http://www.lepost.fr/article/2010/03/18/1993481_nkm-a-la-sante-lagarde-au-quai-d-orsay-ca-jase-sur-le-remaniement.html
NKM à la Santé, Lagarde au Quai d'Orsay? Ça jase sur le remaniement
remaniement ministériel, élections régionales, Christine Lagarde, Nathalie Kosciusko-Morizet, Frédéric Lefebvre, Fadela Amara
Par Aude Baron de La rédaction du Post le 18/03/2010 à 12:56, vu 8128 fois, 14
Va-t-on assister à un jeu de chaises musicales après le second tour des régionales ? Dans les couloirs de l'Elysée et des ministères, il se murmure que Nicolas Sarkozy pourrait opérer à "quelques
adaptations gouvernementales", comme le souligne LeMonde.fr.
Le chef de l'Etat sera obligé de s'y coller "si la pression est trop forte", estime un responsable de l'IFOP cité par LeMonde.fr.
Même son de cloche dans les coulisses de l'UMP. "Je connais mon Sarko. Il n'écoute rien quand il est dans le combat, mais il entend", confie au Nouvel Obs un "hiérarque de l'UMP".
Kouchner viré, Lagarde aux Affaires étrangères ?
Bernard Kouchner "pourrait faire les frais d'une Bérézina électorale et céder les Affaires étrangères à sa collègue de l'Economie", selon l'agence de presse Reuters, citée par LeMonde.fr.
De son côté, Christine Lagarde rêverait de gérer les Affaires étrangères, selon la même source.
Toutefois, il convient de prendre cette rumeur avec des pincettes, car elle "serait alimentée par des diplomates qui ne supportent plus leur ministre" d'un côté, et par l'envie de Lagarde de
déménager au Quai d'Orsay, précise encore Reuters.
NKM à la Santé ou La Défense ?
Autre victime potentielle d'un éventuel remaniement, Roselyne Bachelot. L'actuelle ministre de la Santé pourrait faire les frais de sa gestion de la grippe A.
Elle "devrait rester au gouvernement, mais changer d'affectation", selon LeFigaro.fr. Et le site du quotidien d'ajouter que l'actuelle secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, Nathalie
Kosciusko-Morizet, pourrait la remplacer.
Une information confirmée par Le Point, en témoigne ce message publié sur Twitter par Charlotte Chaffanjon, journaliste à l'hebdo :
Interpellée par des internautes, la journaliste insiste : "C'est sérieux... Mais fort de son expérience, Lefebvre l'a invitée à attendre le remaniement."
La Santé n'est pas complètement étrangère à la "geekette" du gouvernement puisque NKM a été présidente du groupe parlementaire santé et environnement en 2002.
Toutefois, d'autres bruits de couloir la pressentent au ministère de la Défense. La secrétaire d'Etat "s'intéresse de près à ce portefeuille", affirmait début mars le bon blog Secret Défense.
Fadela Amara éjectée ?
Tout comme Roselyne Bachelot, la secrétaire d'Etat à la Ville serait "dans le collimateur", croit savoir Reuters, citée par LeMonde.fr.
Fadela Amara pourrait tout bonnement être exclue du gouvernement, selon Le Canard Enchaîné. Elle pourrait atterrir à la tête de la Halde, poursuit l'hebdo satirique. Une information également
relayée par l'agence de presse Reuters.
Rappelons que l'ancien socialiste Malek Boutih est lui aussi en bonne position pour s'emparer du poste.
Ouverture : stop ou encore ?
Fadela Amara et Bernard Kouchner seraient sur la sellette, mais selon un responsable de l'UMP, les virer serait une très mauvaise idée, soulignant que ça n'aurait "aucun sens".
Dans les rangs de l'UMP, ça grogne contre la politique d'ouverture de Nicolas Sarkozy, qui serait allé trop loin.
Rendez-vous la semaine prochaine pour lever le suspense.
Une information, un témoignage sur cette histoire ? Une faute d'orthographe, une erreur à signaler? Ecrivez à web@lepost.fr avec votre info ou votre correction et en indiquant l'url du post
(Sources: LeMonde.fr, LeFigaro.fr, Wikipédia NKM, Secret Défense, Le Canard Enchaîné)
A lire sur LePost.fr:
- Mauvais scores de l'UMP: des ministres sur un siège éjectable?
- Vous espériez du changement après les régionales? C'est mort!
- Fillon: "Ma démission? Ce sera pas très longtemps avant les échéances de 2012"
A lire sur le web :
- Benoit Hamon sceptique sur l'efficacité d'un remaniement (LeFigaro.fr)
Par Aude Baron de La rédaction du Post (1523
http://www.lemonde.fr/depeches/?seq_id=3208&cont_dep_id=37&dep_id=41968954#
La pression des régionales s'accumule sur Nicolas Sarkozy
Reuters | 17.03.10 | 22h40
par Emmanuel Jarry et Yann Le Guernigou
PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy ne pourra pas faire comme s'il ne s'était rien passé, après le second tour des élections régionales dimanche, mais un remaniement ministériel risque de ne pas
suffire, estiment des analystes politiques.
Officiellement, l'Elysée renvoie à l'interview que le président de la République a accordée la semaine dernière, trois jours avant le premier tour, qui s'est soldé par une abstention record et
une poussée de la gauche au détriment de l'UMP.
Le chef de l'Etat avait alors de nouveau exclu un impact national de ce scrutin régional et écarté un fort remaniement ministériel, à "quelques adaptations gouvernementales" près.
Mais pour Frédéric Dabi, directeur du département opinion publique de l'institut Ifop, "si la pression est trop forte, si la sanction est trop écrasante, le président ne pourra pas ne pas en
tenir compte" et un remaniement important s'imposera.
Il cite le précédent de François Mitterrand, qui avait sacrifié son Premier ministre Edith Cresson après une déroute de la gauche en 1992, bien qu'il lui ait renouvelé sa confiance.
Pour François Miquet-Marty, directeur de l'institut Viavoice, cependant, si un remaniement peut être souhaitable, "il ne suffira pas, surtout s'il est superficiel".
Même un remaniement plus profond ne répondrait pas à la question posée, estime cet analyste, car c'est l'image même de Nicolas Sarkozy qui est selon lui atteinte.
"C'est moins un remodelage de l'exécutif qu'une vision nouvelle qui s'impose, c'est ce qu'attendent les électeurs UMP", souligne François Miquet-Marty.
En attendant, le jeu des pronostics postélectoraux agite de nouveau le petit monde médiatico-politique.
Tout y est propice: que Nicolas Sarkozy reçoive mercredi le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, avec qui il n'a pas la réputation de s'entendre, et voilà lancée l'idée qu'il a offert
un maroquin à Jean-François Copé - lequel ne paraît pourtant pas pressé de renoncer à sa liberté de parole.
Il se murmure que Bernard Kouchner, icône du "strabisme à gauche" reproché à Nicolas Sarkozy par des élus UMP, pourrait faire les frais d'une Bérézina électorale et céder les Affaires étrangères
à sa collègue de l'Economie, Christine Lagarde.
Mais cette rumeur serait alimentée par des diplomates qui ne supportent plus leur ministre et par le fait que la locataire de Bercy n'a jamais caché que le Quai d'Orsay la faisait rêver, dit-on
de source gouvernementale.
TÊTE-À-TÊTE AVEC BERTRAND
"Si à l'issue d'élections régionales, la conclusion de Nicolas Sarkozy c'est de virer les ministres d'ouverture, ça n'a aucun sens", estime pour sa part un responsable de l'UMP.
D'autres ministres sont, dit-on sans le moindre début de confirmation, dans le collimateur, comme Roselyne Bachelot, pour cause de gestion erratique de la grippe A, ou la secrétaire d'Etat Fadela
Amara, qui pourrait être recasée à la tête de la Haute autorité pour la lutte contre les discriminations (Halde).
A l'UMP, c'est le secrétaire général, Xavier Bertrand, homme de confiance de Nicolas Sarkozy, qui est la cible des critiques.
Le chef de l'Etat l'a invité mercredi à déjeuner en tête-à-tête pour lui manifester son "amitié" et son "soutien", dit-on de source proche de la direction de l'UMP.
Il s'apprêterait cependant à l'encadrer plus étroitement en renforçant le rôle de deux de ses proches à la direction du parti, le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux et le secrétaire d'Etat
aux Collectivités territoriales Alain Marleix.
"L'idée est de bétonner la commission des investitures de l'UMP pour calmer les ardeurs et les frondeurs", explique un responsable de la majorité.
Selon une source gouvernementale, Xavier Bertrand ferait pour sa part campagne pour tenter de revenir au gouvernement.
Mais remanier en profondeur le gouvernement après les régionales, en se reniant au passage, reviendrait pour Nicolas Sarkozy à griller prématurément une de ses principales cartouches à deux ans
de la présidentielle de 2012.
Il suffirait au demeurant que la catastrophe ne soit pas dimanche celle annoncée par la gauche et les sondages - par exemple que l'UMP garde l'Alsace et gagne la Guyane - pour que la pression se
fasse moins forte.
"Le président de la République pourrait alors rester sur sa ligne (pas de conséquences nationales)", explique un cadre UMP.
Un espoir tempéré par une autre source proche de la direction du parti présidentiel. "Ce n'est pas le nombre de régions qu'il faut regarder mais le score gauche-droite", explique cette source. "A
60-40 pour la gauche, les élus UMP commencent vraiment à se poser des questions."
Avec Sophie Louet et Service France, édité par Yves Clarisse
http://www.lemonde.fr/depeches/?seq_id=3208&cont_dep_id=38&dep_id=42000130#top
François Fillon à l'Elysée pour préparer un remaniement
Reuters | 22.03.10 | 09h50
PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a reçu lundi matin le chef du gouvernement, François Fillon, pour tirer les leçons des élections régionales et préparer un remaniement.
Xavier Darcos, battu lourdement mais sans surprise en Aquitaine, paraît l'un des ministres les plus menacés, alors qu'il est censé conduire la réforme des retraites dans les prochaines semaines,
selon des sources gouvernementales.
Le nom de l'actuel ministre du Budget, Eric Woerth, est cité pour remplacer, le cas échéant, son collègue chargé du Travail dans cette mission à haut risque. A moins qu'un poste soit créé
spécifiquement pour la réforme des retraites.
Si cela se confirmait, le remaniement serait plus que l'ajustement "modeste" et "technique" annoncé ce week-end par le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant.
Le chef du gouvernement est arrivé à 9h00 au Palais de l'Elysée. Selon son entourage, il n'était pas prévu qu'il présente sa démission, même pour la forme.
Le second tour des élections régionales s'est soldé dimanche par une défaite de la droite, qui ne préside plus qu'une région métropolitaine, l'Alsace, à laquelle s'ajoutent, outre-mer, la Guyane,
grâce à un transfuge de la gauche, et La Réunion.
Emmanuel Jarry et Yann Le Guernigou, édité par Yves Clarisse