Me voici de retour de Paris où j'ai fait un saut de puce pour la soirée tant attendue de la
Remise du Prix Quoi de 9
en présence du vainqueur francophone
Antoine Laurain pour Fume et tue
Des rencontres très intéressantes, des retrouvailles émues, un auteur aussi talentueux que sympathique, une bonne ambiance conviviale, une organisation de main de maître par Cécile, le jury presque au complet malgré quelques manquants très regrettés (Daniel, Olivier, Cynthia), bref une excellente soirée !
J'ai été ravie de revoir Thierry, Christophe et Alice rencontrés lors du DLE du 29 novembre dernier, de faire la connaissance de Anne-Sophie, Nathalie, Anne, Caroline, François Martini, dont je vais d'ailleurs lire bien vite le dernier livre Le temps, Sophie-Ficelle dont je ne connaissais que le blog et les livres et les autres avec lesquels j'ai un peu discuté mais dont j'ai déjà oublié les prénoms, pardonnez-vous (alzheimer guette et il faut avouer aussi que je me suis couchée tard !).
Un grand merci également à mes fidèles depuis des lustres : Sabine, Menthos, Roger, Christine, Valérie, ainsi qu'à Yannick pour sa surprise ! Et à Anne-Hélène et sa maman qui nous ont reçues si gentillement et on subi mon impatience...
Et un dernier et grand merci du fond du coeur à Antoine qui par sa gentillesse, sa proximité a fait de cette soirée une réussite !
Tous les détails du prix vous avaient été donnés ici.
Quelques images...
Comme tout prix que se respecte, l'auteur séléctionné a reçu une dotation absolument grandiose et généreuse en francs guinéens (qui correspondent à quelques cents de chez nous...), ainsi que quelques cadeaux :
les livres des autres finalistes
Cendrillon d'Eric Reinhardt
Cantique de la Racaille de Vincent Ravallec
et le roman vainqueur dans la catégorie étranger
James Salter pour Un bonheur parfait
Un livre tout à fait dans le sujet de Fume et tue, dans lequel on trouve d'ailleurs un extrait de son roman :
de magnifiques autocollants créés par Ficelle, avec des messages très pertinents à coller sur les paquets de cigarettes :
et une grenouille Kokoï plus vraie que nature dessinée par notre cher Mister Kiki :