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mort ou vif

Par Plouf

Ils entendirent souvent et plus encore,

Quelques miasmes mais sans ressort,

Il éructa des mots séniles,

On l'aurait cru à Tchernobyl!

Parfois sur les troncs creux des arbres,

Les tam-tams anciens qui faisaient pirouette

On les entendait geindre des cris blasphématoires,

Et je me serais cru, rasant devant miroir!

Les autres m'attendraient sortir du mouroir,

Excédés, excités de l'ambiance perfide

Les mouchoirs cachaient les larmes peroxydes!

Le sans dégoulinant perlait le long des cuises,

C'est sur j'étais mort comme un hiver en Suisse,

Froids doux et carnassiers, leurs regards humides

Qui flairaient le blaireau de leurs yeux limpides


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