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fils, tu le sais

Par Plouf
j'ai mille maux qui me trainent à vivre, les murs à la chaux sont gris et défraichis, je ne suis rien à vivre, juste à espérer, delaisser quelques pages commme illustre ainé! je pleure chaque soir, j'ai perdu tant d'années, et de ma trajectoire, des profils usés, le glamour a des peines, à ne plus recevoir, qu'au travers de chaines aigues de desespoir! et juste quelques films, et ni un bon bouquin, si tu trouves ma route, écartes du chemin, tu m'as fait tant de mal o fils désiré, de pas lever le voile , et la vérité vraie, il me reste du temps tout juste à consumer, personne tout autour prêt à participer, j'ai été jusqu'au fond d'enclaves espérées, que juste de te voir je n'aurais esperé!

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