Saint du jour : Sainte Mathilde
Contrepèteries : La mousse d’un blanc rosâtre recouvrait la Garonne.
La poétesse aime les vers belges.
Le cuisinier a un canard sur le feu.
La squaw caresse la patte de la biche
Dicton Français : L’humanité fait toujours la chance belle à ceux qui la méprisent.
Dicton Juif : Les bâtards sont légitimés par l’argent.
Dicton Africain : Toutes choses sont difficiles avant que d’être faciles (arabe)
Dicton Occitan : Es pas bèu ço qu’es bèu, es bèu ço qu’agrado. N’est pas beau ce qui est beau, est beau ce qui plaît. (provençal)
Proverbe Chinois : Le silence est un ami qui ne trahit jamais. (Confucius)
Merci Monsieur Jean Ferrat !!
Pour beaucoup, c’était un chanteur dit engagé, un communiste, comme si ce mot était une injure et alors qu’il n’avait jamais été encarté même s’il partageait les idées.
Je n’ai jamais voté communiste et n’ai jamais rien eu contre mais définir Jean Ferrat seulement par ces deux mots engagé et communiste, c’est oublier le courage qu’il lui a fallu pour se faire connaître et le poète qu’il a été.
J’ai appris à l’apprécier à 18 ans et je me rappelle écouter Potemkine et Nuit et Brouillard autant que Satisfaction et The House of Rising Sun. D’un côté le rock et la musique de mes 18 ans, d’un autre des pans d’histoire racontés et chantés par un poète.
Depuis, je n’emploierai pas le mot de fan mais j’ai toujours été fidèle à ce chanteur et à ce que racontaient ses chansons. Avec son talent et son humilité, il savait faire passer ses idées et transmettre aux générations. Potemkine, la Commune, Nuit et Brouillard, Maria, grâce à Jean Ferrat de nombreuses personnes ont appris à connaître des pages sombres de l’histoire à travers ses chansons. Mais à travers les paroles des poèmes d’Aragon et à travers de chansons comme Ma Môme, Aimer à perdre la raison, la Montagne, C’est beau la vie, les saisons, c’était aussi la vie de tous les jours qu’il nous racontait.
Ses textes simples vont nous manquer.
Mais maintenant, tu peux être heureux car tu rejoins Christine Sèvres, ta femme, et Ouralou pourra à nouveau gambader avec son maître.
Que c'est beau la vie!
Merci Monsieur Jean Ferrat.