Doublé de la chronique du séisme intitulée Tout bouge autour de moi par Dany Laferrière, à paraître le 30 mars chez Mémoire d'encrier, et dont les profits permettront de financer la parution de textes de jeunes auteurs haïtiens chez le même éditeur, la solidarité envers Haïti est toujours et même plus que jamais nécessaire. Dany Lafferière écrit dans sa chronique : « Quand les gens me parlent, je vois dans leurs yeux qu'ils s'adressent aux morts, alors que je m'accroche à la moindre mouche vivante. »
A l'initiative du groupe jeunesse du SNE, qui souhaitait que le salon du livre se souvienne du tremblement de Terre qui a secoué Haïti le 12 janvier dernier, les recettes du livre le plus vendu sur le stand du SNE seront reversées à ATD Quart Monde, présent à Haïti depuis vingt ans.
La population haïtienne est toujours touchée par ce séisme et pour venir en aide aux plus pauvres d'entre les pauvres, dont même l'accès à l'aide alimentaire est des plus compliqués, les fonds récoltés au salon du livre permettront principalement de faciliter la distribution de vivres. L'opération se déroulera pendant l'intégralité du salon, du 26 au 31 mars.
Doublé de la chronique du séisme intitulée Tout bouge autour de moi par Dany Laferrière, à paraître le 30 mars chez Mémoire d'encrier, et dont les profits permettront de financer la parution de textes de jeunes auteurs haïtiens chez le même éditeur, la solidarité envers Haïti est toujours et même plus que jamais nécessaire. Dany Lafferière écrit dans sa chronique : « Quand les gens me parlent, je vois dans leurs yeux qu'ils s'adressent aux morts, alors que je m'accroche à la moindre mouche vivante. »
Doublé de la chronique du séisme intitulée Tout bouge autour de moi par Dany Laferrière, à paraître le 30 mars chez Mémoire d'encrier, et dont les profits permettront de financer la parution de textes de jeunes auteurs haïtiens chez le même éditeur, la solidarité envers Haïti est toujours et même plus que jamais nécessaire. Dany Lafferière écrit dans sa chronique : « Quand les gens me parlent, je vois dans leurs yeux qu'ils s'adressent aux morts, alors que je m'accroche à la moindre mouche vivante. »