Dans Vindicateur, il y a vin. Il y a aussi indicateur. Il n'y a pas dictateur, ni vindicatif. Non. Le Vindicateur est un guide, doublé d'un outil, à l'usage de l'amateur, pour mieux l'aider à s'y retrouver dans la jungle du monde du vin. Le Vindicateur, c'est un révélateur de vins. C'est aussi un journal (serait-ce l'ancêtre ou le descendant du blog?), qui relate par anticipation la mort de Robert Parker ou le déclin des AOC (ça, malheureusement, ce n'est pas de l'anticipation!). A la pointe, pourtant, le Vindicateur, par ailleurs très présent sur Facebook ou Twitter.
Totalement en phase avec l'actualité du monde du vin, le Vindicateur, donc. Au point de ne pas passer à côté de la nouvelle coqueluche du web vineux, du Québec et de la francophonie réunis. J'ai nommé la Belle Aurélia, grande buveuse sur le web, qui tente courageusement de changer le monde du vin, une bouteille à la fois.
A ses côtés, je joue la Bête, reprenant le rôle bêtement abandonné par Jean Marais, et j'y ai trouvé un plaisir immense. Des entretiens croisés, menés patiemment par Antonin Iommi, Vindicateur à temps plein. Plus d'un mois, que ça nous a pris, entre deux dégustations de vins et/ou deux émissions de radio. Mais ça valait le coup.
En réponse au Rouge-Gorge martien d'Aurélia, pour fêter ça, j'ai ouvert une Colombe de Bû (pas sur le web, mais aussi quand même un peu, pour ne pas dire beaucoup). Un véritable vin martien, sans aucun doute.
Une cuvée exclusive de Laurent Baraou produite par Floréal Romero, du domaine du Bouscas. 100% colombard, en version demi-sec, avec 32 g de sucre résiduel. Un équilibre aérien, grâce à une acidité prodigieuse, sur le fil, avec des arômes délicatement acidulés de fruits de la passion. Je n'en suis encore pas revenu, tellement c'est bon! Un Vin de Table, forcément.
La Belle, la Bête, le Rouge-Gorge, la Colombe et le Vindicateur vous saluent bien!
Olif