Il n’y a pas que celle du soldat inconnu que l’on puisse raviver, ma chérie. Il y a aussi la flamme, l’amour faiblissant d’un mari, d’un amant.
- Par différents moyens que tu apprendras très vite, je te fais confiance, on peut rallumer le désir. Et donc, provoquer un retour de flamme.
- Tout feu tout flamme, plein d’ardeur, comme justement au début d’un amour.
- Quand je te dis, en riant bien sûr car tu es encore un peu jeune, que ton copain t’a déclaré sa flamme, il n’est question ni de douane, ni d’allumettes ou autre briquet, mais toujours d’amour.
- Par contre, la bonne Jeanne d’Arc quand elle a été livrée aux flammes a bien été brûlée. Comment ? “Tu ne sais pas qui c’est celle-là” ? Honte à toi ! Lis au moins ceci : http://www.linternaute.com/biographie/jeanne-d-arc/biographie/
- Un avion tombe en flammes lorsqu’il a été abattu par l’ennemi.
- Mais si tu descends en flamme tes amis, si tu dis du mal d’eux, ne t’étonne pas de ne plus en avoir.
- Ah bon ! On t’a dit que tu semblais habitée par une flamme intérieure ! Et évidemment tu t’inquiètes, te voyant déjà emmenée au service des grands brûlés. Ne crains rien, je pense qu’on a voulu te dire qu’une forte motivation psychologique te poussait vers ton but.
- Mais non tu n’encourras pas les flammes de l’enfer, ni la damnation éternelle, ni une énorme punition, en te gavant de gâteaux. Tout au plus une bonne indigestion. Bien méritée d’ailleurs ! A-t-on idée d’être aussi gourmande et vorace ?...
- Pour mémoire, je te rappelle que nous avons déjà parlé de “jouer avec le feu” et de “avoir le feu au cul”. Les archives, c’est juste-là, à gauche.