Oui je sais, la contrefaçon est un délit passable de pleins de choses désagréable mais je passe outre. Le blog de Noëlie parlait d’un article, en référence à un billet que j’avais publié, maintenant c’est à mon tour de tenter la mise en abyme.
Donc, il était question du roman Beat the reaper, sortie en librairie le 03 mars dernier. La version française est sortie chez JC Lattès. Ce qui fait que je suis légèrement en retard pour parler de la campagne de com/marketing qui a encadré cette sortie, soit.
L’histoire est celle d’un médecin, ancien tueur à gage de la mafia. Pour faire simple (pour ceux qui regardent les séries américaines), un mélange entre Docteur House et les Sopranos, ça promet !
L’ouvrage est sortie en 2009 outre-Atlantique et avait tenu en haleine le futur lecteur grâce à un “teaser” plus que convaincant :
On nous explique qu’il faut maintenir en bonne santé tous les patients présents dans notre salle d’attente.
On reçoit des informations et c’est à nous de juger, laquelle des actions parmi une liste, est la plus pertinente pour sauver le patient Ryan. Après avoir testé la chose, j’avoue ne pas être convaincu. D’une le jeu manque réellement de fluidité, mais surtout d’intéractivité. On a plus l’impression de faire un test dans un magazine que de sauver la vie des gens !
Je nuancerais mes propos par le fait que ce site est quand même assez attirant et qu’il faut bien avouer qu’il est drôle. L’image de la page d’accueil représentant le contour d’un cadavre à la craie, et remplie de jeux de mots, les plus sombres les uns que les autres. Le “cosa nose-tra” ou le “getaway car-diac (cadillac) artery” m’ont bien fait rire !
En bref, une campagne en dents de scie, une stratégie web qui aurait méritée d’être totale, au moins pour la sortie française. De toute façon, Leonardo Di Caprio a annoncé avoir acheté les droits pour le cinéma, la publicité se fait d’elle même !
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