Guerre des sexes.

Par Ananda
Pourceaux pour sûr à cent pour cent poursuivez votre vie. Poursuivez vos sursauts de stress et continuez à laisser tressauter vos tresses - même si c'est très sot.
Continuez à tâtonner et à tonner d'étonnement, à hausser le ton face aux tonnes de thons et de femmes de tête qui ne remplaceront jamais de beaux tétons et à qui l'on ne peut - même si ça détonne - que répliquer "tais-toi !".
Mais elles sont têtues, ces harpies, ces pies qui épient ne s'épilent jamais ne sont jamais glamour, remèdes contre l'amour songent-elles à ce qu'elles perdent après elles iront pleurer qu'elles sont perdues, après elles diront que vous n'êtes rien que des machos méchants moches et échaudés quand ce n'est pas même éméchés tout juste bons à échafauder des vengeances et que, si l'on vous teste bien, vous n'êtes rien que des blocs de testostérone ambulants qu'un rien met en boule et des porcs que n'importe qui ne pourrait que détester dès qu'il les détecte - elles en attestent - vous êtes pourris pour rien au monde elles ne pourraient vous supporter, elles partent, elles claquent la porte et du coup vous avez des éruptions de cloques à cause de la rupture, vous êtes prêts à l'interpréter comme une vraie sale claque heureusement il y a les cliques de copains avec qui l'on partage  des clopes et avec qui l'on clopine de bar en bar.
Ah, le drame et le brâme des mâles mis à mal au profond des bas-fonds où ils essaient d'oublier les baffes, des rues louches où il y en a des louches et des louches de "toutes des salopes loupées, mais où sont donc les poupées ? - et hop-hop-hop, allez,  la note est trop salée !"
Les féministes, ces fumistes, ont plein de poils aux pattes ("c'est vrai, mon pote !"), mais c'est eux qui se transmutent en loups-garous et se transmettent ce virus à faire peur, à empêcher l'enfant d'avaler sa purée.
Décidément, l'humanité est vilainement velue, que cela la rend vile et veule, ma foi ! Eloignons- en nous vélocem
ent; vite, à vélo  !

P.Laranco.