Un congrès
L’Empereur avait parlé de la nécessité d’un congrès appelé à mettre fin au malaise de l’Europe (c’était en 1871 !)
A l’issue de la séance, Thiers s’exclama : « j’ai vu quelquefois des consultations de médecins, mais des consultations de malades, jamais ! »
(L. Halévy, op. cité)