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Pour compléter la note précédente, il me semblait bon d'ajouter à la réflexion de chacun quelques éléments.
S'agissant du "mur de silence" de l'église dénoncé ces jours-ci, et de l'accueil d'un présumé pédophile dans le diocèse de l'évèque, futur Pape, peut-être est-il bon de rappeler la chose suivante.
Que l'église livre ses "brebis galeuses" à la justice temporelle des hommes n'a rien d'évident. En effet, le Vatican est lui-même un état souverain, et l'Eglise un organisation pluri-millénaire régits par des règles que ses membres doivent considérer bien au dessus de toutes les contingences terestres. La loi s'appelle La Bible. Bien entendu, je ne dis pas ici que je pense juste d'avoir opposé le silence à ces actes inqualifiables. Je dis qu'il faut comprendre les conditions qui ont conduit à ce comportement.
Et juger sans ce recul l'institution Eglise serait d'une bêtise navrante.
nm.