A l’occasion d’un essai de moteurs à Toulouse Blagnac, sur le lieu de sa livraison, un Airbus A 340 qui faisait hurler ses moteurs en point fixe, a rompu ses amarres pour venir s’embrocher sur le parapet antibruit qui l’entourait.
Le choc qui afait 10 blessés dont 3 dans un état grave, devait être d’une violence inouï car l’appareil géant n’est pas récupérable, autrement que sous forme de pièces détachées.
On ignore qui avait la responsabilité de ces essais, s’ils ont été effectués avant ou après la livraison de l’appareil, en sachant que le personnel à son bord était celui de l’acheteur.