Seulement, il estime qu’il est assez navrant que cette écrivaine bien représentée soit J.K. Rowling. Selon lui, et c’est là que ça devient croustillant, « les livres [de la saga Harry Potter] sont un amalgame insipide d’un travail plus intéresant d’auteurs plus imaginatifs ». Il estime aussi que le peu d’intérêt des personnages est gâché par des répétitions .
Son dernier coup estoc consistera à assener que « parmi tous les auteurs jeunesse britanniques célébrés, J.K. Rowling fait partie de ceux qui méritent le moins cet honneur ». Il assure enfin que dans une centaine d’année Harry Potter sera tombé dans l’oubli alors que les œuvres de Roald Dahl seront toujours lues par les enfants.
Voilà qui a le mérite d’être clair…