D’ores et déjà, il cerne les avantages et inconvénients de la machine. En ce qui concerne les avantages, on pourra bien sûr citer la réduction du poids du sac de cours, une moins grande quantité de papier mais aussi des économies les versions numériques des manuels scolaires étant moins onéreuses. Dans les défauts, le professeur voit surtout un manque d’habitude de pratique. En effet, il est moins aisé de faire du surlignage ou de prendre des notes sur un Kindle que de se saisir d’un stylo et gribouiller sur un livre.
Le projet bénéficie d’un budget de 4 000 dollars dont une grande partie aura servie à financer l’achat des Kindle à 489 dollars pièce. Tim Wilson envisage même de pousser l’expérience dans d’autres classes de l’université et pourquoi pas de tester d’autres appareils, comme l’iPad.