Mon voisin-ami montréalais (à moins que ce ne soit ami-voisin ?)m’a fait suivre cette semaine un article du Courrier International : Il y a des mots qu’on ne prononce plus (http://www.courrierinternational.com/article/2010/03/09/il-y-a-des-mots-qu-on-ne-prononce-plus). Je n’avais pas observé que le mot […] ne se prononçait plus à Potopwins. Une collègue à moi ce matin a laissé tomber bagay la (la chose) pour parler de ce qui nous ébranla le 12 janvier dernier. Avec l’équipe de ressources humaines du Ministère de la santé cet après-midi, le ministre a utilisé la même expression. En bon politicien, il a tourné sa langue au moins une fois, le temps de faire une pause pour parler de bagay la. « La nommer, c’est l’appeler » m’a dit quelqu’un. Effectivement, si c’est pour éviter qu’elle ne revienne, je m’engage à l’appeler la chose.
Mon voisin-ami montréalais (à moins que ce ne soit ami-voisin ?)m’a fait suivre cette semaine un article du Courrier International : Il y a des mots qu’on ne prononce plus (http://www.courrierinternational.com/article/2010/03/09/il-y-a-des-mots-qu-on-ne-prononce-plus). Je n’avais pas observé que le mot […] ne se prononçait plus à Potopwins. Une collègue à moi ce matin a laissé tomber bagay la (la chose) pour parler de ce qui nous ébranla le 12 janvier dernier. Avec l’équipe de ressources humaines du Ministère de la santé cet après-midi, le ministre a utilisé la même expression. En bon politicien, il a tourné sa langue au moins une fois, le temps de faire une pause pour parler de bagay la. « La nommer, c’est l’appeler » m’a dit quelqu’un. Effectivement, si c’est pour éviter qu’elle ne revienne, je m’engage à l’appeler la chose.