Le retour de Gudulle!

Publié le 03 octobre 2007 par Gudulle


Non, je n'ai pas déserté ce blog ni disparu de cette planète. Mais, les déménagements, ça use et ça prend du temps!
Il m'aura fallu 4 jours pour tout nettoyer et vider tous les cartons, sacs et autres conteneurs (bon, d'accord, là, j'exagère un peu). 4 jours, les mains dans les produits chimiques (ah, oui, je n'ai pas encore parlé de ma fascination pour les détergents... et hop, une idée de billet pour le futur) et le résultat, c'est que mes mains sont recouvertes d'une espèce de peau de crocodile. Quand je vous avais dit que je prenais plus soin de mes pieds que de mes mains, je ne mentais pas.
En attendant le résultat est fantastique et, comme j'avais été taggée par Gaëlle pour montrer mon bureau, et bien je vous la refais avec la peinture rose à la queue de vache en moins. Quel soulagement...
Si vous regardez bien, à droite de la photo vous verrez un masse rose-violette. C'est une merveilleuse bougainvillée (je l'aurais mis au masculin si le Petit Robert, ne me garantissait pas que bougainvillée, c'est féminin. Merci Little Bob!) qui fleurit devant la fenêtre de mon bureau. Et rien que pour ça, j'ai des envies de me remettre au travail. Si, si, je vous assure.
Tiens, pour l'anecdote, 2 nuits avant notre déménagement, on a fracturé la fenêtre passager avant de ma voiture pour me piquer le vieux machin qui lisait tant bien que mal mes CDs. Valeur de l'objet dérobé: 30€. Coût du changement de vitre: 75€. Si c'est pas malheureux! (comme dirait ma grand-mère). Enfin, s'il nous fallait un signe pour nous encourager à déménager, on l'a eu. De plus, le jour où nous sommes revenus pour faire le ménage de la maison, mon pneu avant gauche a crevé en franchissant le portail. Alors, là, si vous ne pensez toujours pas qu'on a fait le bon choix, je ne sais plus quoi dire.
Bref, l'homme et moi-même sommes les plus heureux du monde dans notre petit nid douillet. Et ça, c'est tout ce qui compte!
PS: En une semaine et demi, j'ai réussi à faire comprendre au chat du voisin que même si je l'aime bien, il ne doit pas passer le seuil de la porte. Résultat: il vient se prélasser sur la terrasse tous les jours en attendant que je fasse le pas pour venir le caresser mais il ne rentre plus. Encore, une bataille gagnée!
PS2: Non, non, je n'ai rien contre les chats. C'est leurs poils qui m'enquiquinent. (Autre expression de ma grand-mère?)