Donc, à la moyenne de 92 km/h, non compris l'arrêt au McDo de Limoges (où on propose maintenant des cafés gourmands...) mais y compris les tournants de la route entre Souillac et Cuzorn, nous sommes bien arrivés dans une maison bien chauffée.
Don Miguel était là pour vérifier si l'installation était OK - il avait réparé une petite fuite pendant notre absence - et même Carlos était venu faire un tour. Même l'horloge était juste calée à l'heure et je n'ai eu qu'à relancer son balancier.....
Il nous reste à ranger le bardas que nous avons descendu de Paris - j'ai découvert dans le coffre plein de petites chaussures de Benjamin vraisemblablement destinées à Apolline - les livres, les vêtements d'été pour lesquels il faut re-trouver de la place, les pots de confiture pour la prochaine campagne.
La route était bonne, à peine humide, quasiment déserte, mais pas de verglas en vue, ce qui constituait la grande angoisse de Claude. En fait toute la partie centrale du Berry et du Limousin sont encore bien poudrées....
Ici, pourtant bien au sur, c'est encore vraiment l'hiver, mais pas de dégâts. Je vais faire une inspection approfondie tout de même car, en ces temps de froidure, les nuisibles (souris, mulots) ont tendance à se rapprocher des maisons...