L’enquête est mené par Ola Haver. Ann Lindell étant en congé de maternité. Malgré cela, elle trouvera le moyen de participer à l’enquête, lasse d’être inactive depuis 1 an.
Encore une fois l’auteur nous brosse un tableau de la société suédoise. Nous fait la démonstration que les problèmes sociaux existent « même » en Suède. Il continue aussi son incursion dans la vie privée de ses personnages récurrents. Tout n’est pas rose dans la famille de Ola Haver et Ann ne vit pas toujours bien son nouveau rôle de mère monoparentale. Avec ce troisième titre, l’auteur maîtrise de plus en plus son art et approfondie la psychologie de ses protagonistes. Consulter l’avis de Paul Arre et trouver des informations supplémentaires sur les titres à venir de cet auteur.
La princesse du Burundi, Kjell Eriksson, Éd. Gaïa, 2009, c2002, 349 p.