Lançant en tête de son communiqué un « De qui se moque-t-on », le PCF a indiqué qu’il serait présent vendredi « dans la rue pour soutenir les enseignants en lutte pour l'avenir de l'école publique et contre la casse de l'Éducation nationale ». L’AFP précise que le PCF a appelé les électeurs à voter dimanche pour le Front de gauche afin de « sanctionner cette politique de casse des services publics ».
Le PCF a protesté dans un communiqué contre l’idée du gouvernement de faire remplacer les professeurs absents par des étudiants et des jeunes retraités de l’Éducation nationale.
Le PCF a fustigé au passage la politique de non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux menée par le gouvernement, déclarant « Le ministère de l'Éducation nationale est pris en faute par les conséquences prévisibles d'une politique du chiffre qui ne connaît qu'une seule opération mathématique élémentaire, la soustraction : moins 45.000 en trois ans, moins 16.000 sur l'année ».
Lançant en tête de son communiqué un « De qui se moque-t-on », le PCF a indiqué qu’il serait présent vendredi « dans la rue pour soutenir les enseignants en lutte pour l'avenir de l'école publique et contre la casse de l'Éducation nationale ». L’AFP précise que le PCF a appelé les électeurs à voter dimanche pour le Front de gauche afin de « sanctionner cette politique de casse des services publics ».
Lançant en tête de son communiqué un « De qui se moque-t-on », le PCF a indiqué qu’il serait présent vendredi « dans la rue pour soutenir les enseignants en lutte pour l'avenir de l'école publique et contre la casse de l'Éducation nationale ». L’AFP précise que le PCF a appelé les électeurs à voter dimanche pour le Front de gauche afin de « sanctionner cette politique de casse des services publics ».