« Le vrai nom de l’amour c’est captivité »... Cette phrase de Hugo illustre bien la situation dans laquelle se trouve le personnage mis en scène dans l’album concept « L’Homme à la tête de chou ». Le malheureux enfermé dans le « lunatic asylum » crève d’amour pour Marilou qui l’a trompé et qui lui a fait ressentir dans la chair « les première attaques du mal ».
Le personnage mis en scène dans la pièce souffre horriblement. Le souvenir cuisant de Marilou se mêle au souvenir d’autres filles, Melody, Lolita qui
ne sont que le masque d’une seule et même femme, un peu comme la Lolita du roman de Nabokov si chère à Gainsbourg.