Pour une fois, je suis à l'heure ! Même s'il n'y aura malheureusement pas grand chose à voir... Nancy pourtant lance les hostilités, avec deux grosses occasions, dont un poteau de Dia. Mais c'est Grenoble qui ouvre le score au quart d'heure de jeu et refroidit tout un stade (dépeuplé - ça-y-est, on est passé en dessous de la barre des 15000 spectateurs...) ! Nancy peine ensuite à se refaire et perd même Efoulou sur blessure... Le sort s'acharne diront certains. Mais c'est surtout parce que Nancy n'arrive pas à se motiver on dirait ! Évidemment, dans le public, ça commence à siffler...
Le pire, c'est que la seconde mi-temps est du même acabit. Une demi-occasion dans les premières minutes et de nouveau plus rien. C'est d'un triste ! Et quinze minutes avant le coup de sifflet final, Grenoble enfonce le clou (un joli coup-franc) et le stade siffle et le stade se lève comme un seul homme pour déserter ce lieu qui devient réellement pourri !
J'attends la fin mais c'est vraiment long. Et c'est vraiment dur de supporter tous ces sifflets.
Après avec Jos, on va manger et puis on se casse en direction de Paris. En prenant l'autoroute car une tempête est annoncée et la nationale 4 est "déconseillée". Il pleut tout du long, c'est fatigant. A part quand on arrive à environ 50 kilomètres de Paris. Là, brusquement, la pluie cesse et le ciel semble s'illuminer. Comme si le jour se levait. En fait, on se rend compte que c'est la pleine lune et puis aussi qu'en fond, il y a toute cette pollution lumineuse si caractéristique à Paris...
Nous arrivons à Asnières vers 3h30 après avoir un peu tourné en rond, encore une courte nuit en perspective, puisque nous devons nous lever "tôt".