Pas de journée nationale ou internationale particulière, aujourd'hui.
Mince.
La prochaine n'est que pour dans deux ou trois jours. Ce sera l'audition. Puis la censure sur internet.
Mais on est quand même dans une semaine. Celle du bio.
Moi, je les aime bien ces journées, ces semaines.
Elle permettent de dire et redire des choses. D'éclairer nos lanternes qui s'éteignent si facilement.
Je ne sais pas si leur effet est concret. Je ne sais pas si c'est le but, d'ailleurs. Allume-t-on des lampes dans sa cuisine en s'énervant si le repas ne se fait pas ? Braque-t-on les phares de sa voiture en gueulant que la route ne défile pas ?
Et pour finir, recommencer, comme le chante Bashung. Et pour finir recommencer.