Un peu en vrac, parce que je n'ai pas le coeur à faire des rangements :
Pascal Garnier est décédé. C'était un des meilleurs nouvellistes francophones. Est-ce parce qu'il était nouvelliste que l'on en parle si peu
? S'il y a un paradis pour les écrivains, est-ce que, là aussi, il y aura une file d'entrée privilégiée pour les romanciers ? La disparition de Pascal Garnier est une mauvaise nouvelle pour les
nouvellistes français : nous ne sommes pas si nombreux à écrire et publier régulièrement des nouvelles. Encore moins nombreux quand il s'agit de le faire avec la sensibilité de Pascal Garnier. Il
faisait honneur à la nouvelle. Lisez-le, il n'est pas trop tard.
Mon nouveau site est en ligne : il a encore plein de défauts, dont celui de ne pas occuper pleinement votre écran (sauf si celui-ci s'affiche
en 1024 octets de large). N'hésitez pas à y faire un tour pour me dire le mal que vous en pensez, ou le bien - ça m'intéresse dans les deux cas. Je certifie qu'aucun animal n'a été maltraité pour
la réalisation de ce site.
http://www.georges-flipo-auteur.com/
Le visuel juste en dessous, c'est la page d'accueil. Je vous y attends. Le chien aussi.
Ouf, la première critique négative
concernant "La commissaire n'aime point les vers" a montré le bout de son nez dans la blogochose. Elle vient d'un blog que j'aime bien, celui de Schlabaya. C'est une critique sans
malveillance, argumentée, sincère. Avis aux autres blogs : ce n'est plus la peine de pondre un billet négatif sur "La commissaire...", Schlabaya a tout dit et bien dit, dans le genre, même
s'il y a quelques petites inexactitudes dans ce billet. En un sens, ça me fait plaisir, c'est écrit par une blogueuse intelligente et honnête. Je me souviens du premier billet négatif (il y
en a eu deux) sur "Qui comme Ulysse", il était atterrant et semblait écrit par une lectrice qui n'avait fait que feuilleter les nouvelles : elle avait décidé de ne pas aimer et était
d'une totale mauvaise foi, inventant même des situations pour pouvoir les critiquer. Tout ça pour dire que je suis très content que Schlabaya n'ait pas aimé "La commissaire n'aime point les
vers", cela crédibilise les autres billets positifs. Allez lire Schlabaya (blog Scriptural). Ah, j'oubliais : je ne suis pas complètement
d'accord avec elle.
Certains visiteurs s'étonnent des requêtes par lesquelles on arrive à mon blog (et dans le cas des plus savoureuses, à ma Chambre des
requêtes) . Je ne déforme aucune requête, je les publie telles quelles. Pour vous donner une idée de ce que je reçois quotidiennement, voici un extrait des arrivages du jour. Ca
vous va ?
comment se faire éditer google 2
roman comment se faire publier google 2
se faire éditer chez gallimard google 2
les 100 livres les plus lus google 2
manœuvrer comme ulysse google 2
dans quelle catégori de romen ce trouve le livre vas y claire google 1
les palmes académiques qu'est ce que c'est? google 1
resumé de louise de william somerset maugham google 1
comment sera -t il le bonheur d' antigon google 1
sujet de nouvelles google 1
un roman ennuyeux est il un bon film google 1
2ème moitié du temps retrouvé google 1
quel editeur donne une chance au premier roman google 1
mission stendhal 2009 google 1
avoir un prix nobel avoir google 1
blog ecrivain google 1
c'est bien la peine google 1
qu’est-ce que la littérature ? google 1
récrire ou réécrire google 1
requête censurée
envoyer manuscrit phébus google 1
blog écrivain google 1
Il paraît que le blog de Mme Lise-Marie Jailland (avant
c'était simplementWrath ) explique aux auteurs candidats à l'édition que le Salon du Livre de Paris n'est pas fait pour eux. C'est un des propos les plus bêtes,
dangereusement bêtes, qu'on puisse leur tenir : le Salon est au contraire un merveilleux endroit pour comprendre le style, les goûts de chaque éditeur. C'est le seul endroit où l'on puisse
feuilleter toute sa production regroupée. Le salon n'est pas fait pour proposer un manuscrit aux éditeurs, mais il est idéal pour choisir ceux à qui on va ensuite le proposer en
l'envoyant par la poste. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai repéré les trois éditeurs avec lesquels je travaille.
Quand on explore ledit blog, on comprend mieux le phénomène des suicides collectifs. C'est le Temple Solaire des wannabes qui ne veulent plus rien wanter.