Éradiqué, supprimé, expulsé de son bureau, Frank de Bondt raconte

La vie en open space peut tuer, certes, mais la vie en bureaux bien cloisonnés ne rend pas immortel. Surtout quand on chercher à se débarrasser de vous. C'est-à-dire, radicalement... complètement radicalement.
Au point que vous n'avez peut-être jamais existé auparavant.

Hop. Un grand passage de la Mère Denis avec sa tornade blanche et finie votre vie d'avant, plus rien n'existe d'autre que la moquette de votre bureau.
On ne vous en dit pas plus, découvrez plutôt notre chronique : Un bureau vide de Frank de Bondt.