Une coupe, une belle, un luth (Homar Khayam)

Par Arbrealettres


J’ignore entièrement celui qui me créa,
Si c’est le paradis, l’enfer qu’il m’assigna.
Une coupe, une belle, un luth sur la prairie
Me suffisent. Pour ta promesse, garde-la.

(Homar Khayam)


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