Leur conclusion est la suivante : quand un croyant cherche à savoir ce que Dieu pense de telle ou telle question, cela revient à ce que lui-même pense de ces questions. Ce sont en effet les mêmes zones cérébrales qui sont activées dans les deux cas. Dieu serait donc le "Moi" freudien de chaque individu et il y aurait alors autant de Dieu que de croyants, chacun le façonnant à son image. Ainsi les croyants conservateurs estiment que Dieu est pour la peine de mort et hostile au mariage gay, tandis que les libéraux pensent que Dieu est sûrement contre la peine de mort et pour le mariage gay. Pratique, n’est-ce pas ? Cela évite évidemment bien des cas de conscience…
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