Comment parler de toi sans trahir notre histoire
Comment taire ton nom sans ouvrir ma mémoire
Comment chasser nos souvenir devant se grimoire
Je médite souvent a toi souvenir d’un passé
Où résident nos joies aux saveurs d’un été
De nos sourires et nos joie en quête d’éternité
J’aurais aimé t’avoir près de moi plus longtemps
Ensemble s’asseoir pour parler dans le vent
Entendre l’écho de ta voix au retour des grands champs
Mais hélas les lois du destin sont parfois des voies sans issus
Ton absence des matins se son faites à mon insu
Sous mes yeux humides souvent je passe un tissu
Les fleurs de la solitude germent en silence
Cassant l’habitude aux douces flagrances
Reste cette boite a musique aux douces résonances
Lorsqu’au creux de mes mains règne ta présence
Au sillon d’un demain ou résonne l’absence
Sur la lame de l’abîme je suspendrais mon errance
Otangerac