Μῆνιν ἄειδε θεὰ Πηληϊάδεω ἈχιλῆοςÇa ne vous aide pas ? Comment, le grec ancien n'est pas votre tasse de thé ? Ah, vous avez oublié... Très bien, alors tentons avec cela.
οὐλομένην, ἣ μυρί᾿ Ἀχαιοῖς ἄλγε᾿ ἔθηκε,
πολλὰς δ᾿ ἰφθίμους ψυχὰς Ἄϊδι προΐαψεν
ἡρώων, αὐτοὺς δὲ ἑλώρια τεῦχε κύνεσσιν
οἰωνοῖσί τε πᾶσι· Διὸς δ᾿ ἐτελείετο βουλή,
ἐξ οὗ δὴ τὰ πρῶτα διαστήτην ἐρίσαντε
Ἀτρεΐδης τε ἄναξ ἀνδρῶν καὶ δῖος Ἀχιλλεύς.
CHANTE, déesse, la colère d'Achille, fils de Pélée, ressentiment funeste qui causa tant de malheurs aux Achéens, qui précipita dans les enfers les âmes courageuses de tant de héros, et fit de leurs corps la proie des chiens et des vautours, (ainsi s'accomplit la volonté de Jupiter) lorsque pour la première fois se divisèrent, par une querelle, Agamemnon, roi des hommes, et le divin Achille. (source)Ça va mieux, non ?
Bien. Alors puisque nous sommes replongés dans la guerre de Troie, devant ses remparts même, je vous propose de retrouver la chronique BD du jour : La guerre des dieux, tome 1, de bruit et de fureur.